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Et en ce moment vous lisez quoi ?
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Re: Et en ce moment vous lisez quoi ?
Pour avoir lu du Howard et les livres que tu présentes ici, il y a bien 10-15 ans, j'avoue que ce qui me choquait à l'époque était la pauvreté du style, dans sa traduction. Je n'ai jamais poussé jusqu'à lire en anglais son oeuvre.
J'y opposerai Michael Moorcock avec ses sagas d'Elric le nécromancien ou de Dorian Hawkmoon, bien plus poétique....un Moorcock connu aussi des amateurs de rock puisqu'il collabora avec BÖC.
Cela dit, Howard va à l'essentiel et ses récits arrivent à créer un univers cohérent, efficace. Dommage que beaucoup se soient arrétés au film.
J'y opposerai Michael Moorcock avec ses sagas d'Elric le nécromancien ou de Dorian Hawkmoon, bien plus poétique....un Moorcock connu aussi des amateurs de rock puisqu'il collabora avec BÖC.
Cela dit, Howard va à l'essentiel et ses récits arrivent à créer un univers cohérent, efficace. Dommage que beaucoup se soient arrétés au film.
Re: Et en ce moment vous lisez quoi ?
je vais me laisser tenter par Michael Moorcock et ses sagas d'Elric le nécromancien , merci Ice
Invité- Invité
Re: Et en ce moment vous lisez quoi ?
La triste histoire des frères Grossbart
Un livre que j'ai dévoré (si l'on peut parler ainsi ) mais pas si facile à en faire une chronique, heureusement Gillossen sur Elbakin.net a écrit une excellente critique qui se rapproche vraiment de ce que j'en pense
L'histoire :
NOUS SOMMES EN 1364. Des créatures affamées rôdent dans les sombres forêts de l’Europe du Moyen Âge, et ciel comme mer grouillent d’horreurs indicibles. Il n’y a aucune perversion, aucune sorcière ni démon qui rivalise avec les frères jumeaux pilleurs de tombes Hegel et Manfried Grossbart. Voici leur histoire, triste mais véritable.
Écrit dans le style des Grimm, les frères Grossbart s’embarquent dans une quête vers la lointaine Égypte et ses tombes emplies de richesses. Pieux, mais horriblement cruels, les frères meurtriers entament un « road trip » assassins sur les routes médiévales de l’Europe. En chemin, ils vont croiser brigands, sorciers et prêtres défroqués, volant et tuant selon leurs besoins. Vous ne trouverez point d’antihéros poignant chez nos Grossbart, mais des meurtries sans âmes. Accrochez-vous, ce roman n’est pas à mettre entre toutes les mains !
Critique
Par Gillossen.
Repéré par nul autre que Jeff VanderMeer lors d’une visite dans son vidéoclub (!) habituel, comme quoi, il faut bien encore sortir de chez soi pour faire des rencontres, Jesse Bullngton signe là un premier roman particulièrement étonnant, mais pas forcément aussi dérangeant qu’on pourrait le croire de prime abord ou en jetant un coup d’oeil à la quatrième de couverture ou bien au bandeau rouge qui orne l’ouvrage.
En effet, si l’on met de côté un “On n’est pas des voleurs, on n’est pas des assassins”, une accroche qui rappellera de bons souvenirs aux amateurs d’Elie et Dieudonné, pour une fois, les critiques mises en avant par l’éditeur se révèlent tout à fait pertinentes, au point que l’on se met à douter de l’intérêt de la présente chronique.
Plus sombre que Grimm, Tarantino croisé avec Rabelais… Il y a effectivement de ça dans ce roman. Et même si les deux œuvres n’ont concrètement rien à voir, on pense de temps à autre au Parfum. Mais l’auteur ne joue pas seulement la carte de la forme, ou de l’humour cynique. Au contraire. Si certaines scènes frisent l’absurde, elles sont surtout incomparables et l’on se demande parfois sincèrement comment notre homme a pu tisser une telle intrigue.
Car intrigue il y a, même si celle-ci se délite quelque peu dans la deuxième moitié du roman, qui nous emmène notamment jusqu’en “Gypte”. Le parcours des frères Grossbart, qui semble souvent aussi inexorable que lamentable (pour les personnages), nous entraîne très loin, par bien des chemins et sous bien des angles. L’ambiance est sale, poisseuse, crasseuse, cruelle, certaines visions sont tout bonnement écœurantes, à même de faire trembler d’effroi plus que de dégoût, mais cela n’empêche pas de nombreuses touches d’humour, souvent macabres, bien évidemment.
Toutefois, le roman lui-même, malgré une violence indéniable parmi ses ingrédients, n’est pas aussi sulfureux que ça. Et, finalement, c’est tant mieux. L’auteur ne donne ainsi pas l’impression d’avoir voulu choquer pour choquer. Il se met simplement à la hauteur de ses personnages, les frères en tête.
Mais il nous offre pour l’occasion une belle galerie de salopards et chaque nouveau personnage, à de rares exceptions, donne l’impression de ne surtout pas être là pour rattraper le précédent. Des rencontres qui donnent également lieu à de nombreuses joutes verbales, souvent enlevées, parfois incongrues, les dialogues occupant une part non-négligeable du roman. On peut saluer au passage le travail du traducteur, Laurent Philibert-Caillat, pour avoir réussi à retranscrire un ton et un style très particulier, précisément dans le cadre de dialogues souvent argotiques. Le travail sur l’objet livre proprement dit est par ailleurs fort réussi là aussi.
Roman étrange, presque hors-normes, loin des sentiers battus du tout-venant des parutions du genre, l’œuvre de Jesse Bullington déconcerte assurément. Nous séduit ? L’ouvrage reste difficile à cerner au bout du compte, sans pour autant exercer de réelle fascination. Il n’en reste pas moins à lire, à moins de vous considérer comme une âme (vraiment très) sensible.
Ne serait-ce que pour sa conclusion, à la fois fatale et caustique… en diable, forcément.
Un livre que j'ai dévoré (si l'on peut parler ainsi ) mais pas si facile à en faire une chronique, heureusement Gillossen sur Elbakin.net a écrit une excellente critique qui se rapproche vraiment de ce que j'en pense
L'histoire :
NOUS SOMMES EN 1364. Des créatures affamées rôdent dans les sombres forêts de l’Europe du Moyen Âge, et ciel comme mer grouillent d’horreurs indicibles. Il n’y a aucune perversion, aucune sorcière ni démon qui rivalise avec les frères jumeaux pilleurs de tombes Hegel et Manfried Grossbart. Voici leur histoire, triste mais véritable.
Écrit dans le style des Grimm, les frères Grossbart s’embarquent dans une quête vers la lointaine Égypte et ses tombes emplies de richesses. Pieux, mais horriblement cruels, les frères meurtriers entament un « road trip » assassins sur les routes médiévales de l’Europe. En chemin, ils vont croiser brigands, sorciers et prêtres défroqués, volant et tuant selon leurs besoins. Vous ne trouverez point d’antihéros poignant chez nos Grossbart, mais des meurtries sans âmes. Accrochez-vous, ce roman n’est pas à mettre entre toutes les mains !
Critique
Par Gillossen.
Repéré par nul autre que Jeff VanderMeer lors d’une visite dans son vidéoclub (!) habituel, comme quoi, il faut bien encore sortir de chez soi pour faire des rencontres, Jesse Bullngton signe là un premier roman particulièrement étonnant, mais pas forcément aussi dérangeant qu’on pourrait le croire de prime abord ou en jetant un coup d’oeil à la quatrième de couverture ou bien au bandeau rouge qui orne l’ouvrage.
En effet, si l’on met de côté un “On n’est pas des voleurs, on n’est pas des assassins”, une accroche qui rappellera de bons souvenirs aux amateurs d’Elie et Dieudonné, pour une fois, les critiques mises en avant par l’éditeur se révèlent tout à fait pertinentes, au point que l’on se met à douter de l’intérêt de la présente chronique.
Plus sombre que Grimm, Tarantino croisé avec Rabelais… Il y a effectivement de ça dans ce roman. Et même si les deux œuvres n’ont concrètement rien à voir, on pense de temps à autre au Parfum. Mais l’auteur ne joue pas seulement la carte de la forme, ou de l’humour cynique. Au contraire. Si certaines scènes frisent l’absurde, elles sont surtout incomparables et l’on se demande parfois sincèrement comment notre homme a pu tisser une telle intrigue.
Car intrigue il y a, même si celle-ci se délite quelque peu dans la deuxième moitié du roman, qui nous emmène notamment jusqu’en “Gypte”. Le parcours des frères Grossbart, qui semble souvent aussi inexorable que lamentable (pour les personnages), nous entraîne très loin, par bien des chemins et sous bien des angles. L’ambiance est sale, poisseuse, crasseuse, cruelle, certaines visions sont tout bonnement écœurantes, à même de faire trembler d’effroi plus que de dégoût, mais cela n’empêche pas de nombreuses touches d’humour, souvent macabres, bien évidemment.
Toutefois, le roman lui-même, malgré une violence indéniable parmi ses ingrédients, n’est pas aussi sulfureux que ça. Et, finalement, c’est tant mieux. L’auteur ne donne ainsi pas l’impression d’avoir voulu choquer pour choquer. Il se met simplement à la hauteur de ses personnages, les frères en tête.
Mais il nous offre pour l’occasion une belle galerie de salopards et chaque nouveau personnage, à de rares exceptions, donne l’impression de ne surtout pas être là pour rattraper le précédent. Des rencontres qui donnent également lieu à de nombreuses joutes verbales, souvent enlevées, parfois incongrues, les dialogues occupant une part non-négligeable du roman. On peut saluer au passage le travail du traducteur, Laurent Philibert-Caillat, pour avoir réussi à retranscrire un ton et un style très particulier, précisément dans le cadre de dialogues souvent argotiques. Le travail sur l’objet livre proprement dit est par ailleurs fort réussi là aussi.
Roman étrange, presque hors-normes, loin des sentiers battus du tout-venant des parutions du genre, l’œuvre de Jesse Bullington déconcerte assurément. Nous séduit ? L’ouvrage reste difficile à cerner au bout du compte, sans pour autant exercer de réelle fascination. Il n’en reste pas moins à lire, à moins de vous considérer comme une âme (vraiment très) sensible.
Ne serait-ce que pour sa conclusion, à la fois fatale et caustique… en diable, forcément.
Invité- Invité
Re: Et en ce moment vous lisez quoi ?
la conclusion est bonne parce qu'à la lecture du début, je n'ai rien compris
ce genre d'ovni m'attire en tout cas. Je le note et je le souligne
ce genre d'ovni m'attire en tout cas. Je le note et je le souligne
Re: Et en ce moment vous lisez quoi ?
Abraham Lincoln, chasseur de vampires
J'ai adoré ce livre, passionnant de bout en bout, on est embarqué entre fiction et réalité et franchement, on y croirait presque à ce président des Etats-unis en chasse avec les vampires.
C'est aussi l'occasion de découvrir la vie (très) dure de Abe qui a vraiment souffert durant toutes ces années. C'est donc un livre très divertissant que Seth Grahame-Smith nous propose grâce à l'excellente idée de mélanger narration et notes explicatives, bref un vrai plaisir !
Un film est en préparation, il sera produit par Tim Burton
Résumé :
Dans un chalet, Abraham Lincoln, neuf ans, était agenouillé au chevet de sa mère.
— Mon tout petit… soupira-telle avant de rendre l'âme.
Ce n'est que plus tard qu'Abraham, endeuillé, apprendra que le mal funeste ayant emporté sa mère était l'œuvre d'un vampire…
Dès lors, il jura de consacrer sa vie à poursuivre un seul et unique objectif: exterminer tous les vampires. Grâce à sa stature légendaire, à sa force et à sa maîtrise de la hache, le jeune Lincoln s'engage sur le chemin de la vengeance, qui le mènera jusqu'à la Maison Blanche.
Si Abraham Lincoln est mondialement connu pour avoir sauvé l'Union et libéré des millions d'esclaves, sa lutte sans merci contre les morts-vivants est demeurée secrète pendant presque deux cents ans, jusqu'à ce que Seth Grahame-Smith ne tombe sur Le Journal Secret d'Abraham Lincoln. À l'aide de ce journal, Seth reconstitue la véritable histoire du plus grand président américain, dans un style biographique digne d’un David McCullough. Pour la première fois, il révèle la vérité cachée derrière la guerre de Sécession, ainsi que le rôle des vampires dans l'édification, l'essor et la quasi-chute des États-Unis d'Amérique
J'ai adoré ce livre, passionnant de bout en bout, on est embarqué entre fiction et réalité et franchement, on y croirait presque à ce président des Etats-unis en chasse avec les vampires.
C'est aussi l'occasion de découvrir la vie (très) dure de Abe qui a vraiment souffert durant toutes ces années. C'est donc un livre très divertissant que Seth Grahame-Smith nous propose grâce à l'excellente idée de mélanger narration et notes explicatives, bref un vrai plaisir !
Un film est en préparation, il sera produit par Tim Burton
Résumé :
Dans un chalet, Abraham Lincoln, neuf ans, était agenouillé au chevet de sa mère.
— Mon tout petit… soupira-telle avant de rendre l'âme.
Ce n'est que plus tard qu'Abraham, endeuillé, apprendra que le mal funeste ayant emporté sa mère était l'œuvre d'un vampire…
Dès lors, il jura de consacrer sa vie à poursuivre un seul et unique objectif: exterminer tous les vampires. Grâce à sa stature légendaire, à sa force et à sa maîtrise de la hache, le jeune Lincoln s'engage sur le chemin de la vengeance, qui le mènera jusqu'à la Maison Blanche.
Si Abraham Lincoln est mondialement connu pour avoir sauvé l'Union et libéré des millions d'esclaves, sa lutte sans merci contre les morts-vivants est demeurée secrète pendant presque deux cents ans, jusqu'à ce que Seth Grahame-Smith ne tombe sur Le Journal Secret d'Abraham Lincoln. À l'aide de ce journal, Seth reconstitue la véritable histoire du plus grand président américain, dans un style biographique digne d’un David McCullough. Pour la première fois, il révèle la vérité cachée derrière la guerre de Sécession, ainsi que le rôle des vampires dans l'édification, l'essor et la quasi-chute des États-Unis d'Amérique
Invité- Invité
Re: Et en ce moment vous lisez quoi ?
Games of thrones
Le trône de fer - Tome 1 / L'intégrale
Bon, j'avais vraiment loupé cet auteur et cette magnifique sage, j'ai adoré la série, la saison 2 va bientôt être diffusée, un petit conseil lisez le livre absolument, on le dévore vraiment avec passion, c'est somptueux !
Le trône de fer - Tome 1 / L'intégrale
Bon, j'avais vraiment loupé cet auteur et cette magnifique sage, j'ai adoré la série, la saison 2 va bientôt être diffusée, un petit conseil lisez le livre absolument, on le dévore vraiment avec passion, c'est somptueux !
Dernière édition par 2rocks le Jeu 22 Mar - 19:30, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Et en ce moment vous lisez quoi ?
Sébastien Rutès / La mélancolie des corbeaux
(Actes noirs)
Bon tout d'abord, j'adore les corbeaux et les corneilles et pour en avoir gardé une pendant quelques mois, je peux vous dire que c'est un oiseau très intelligent, attachant, malin, imposant et magnifique.
J'ai été tout de suite été attiré par le titre puis en lisant le dos de couverture, je me suis dit, ça y est quelqu'un l'a fait !
Une personne a eu enfin l'idée de construire une histoire autour du parc montsouris et d'un oiseau qui habiterait ces lieux. Combien de fois me suis-je posé cette question en étant assis sur un banc dans ce parc où au regard de chaque oiseau se traduisait un comportement, une histoire, leurs histoires.
Sébastien Rutès a eu cette idée géniale et très originale de nous inventer une histoire, une enquête dans le monde des oiseaux et des animaux vivant dans Paris, un roman absolument délicieux qui vraiment sort des sentiers battus et nous offre en quelque sorte un mélange de polar et de fable animalière !
J'en ai eu le bec cloué !
L'histoire :
Karka est un corbeau freux parisien vivant dans le Parc Montsouris. Il habite au dernier étage de son arbre, un févier d’Amérique, cherchant peu de contact avec les oiseaux des alentours. Les seuls échos du monde extérieur lui sont rapportés par ses amies les mouettes voyageuses. Karka apprécie en particulier l’esprit d’aventure de la jeune mouette Iaha, nièce de la caractérielle Ierk.
Si son espèce est plutôt grégaire, le vieux corbeau préfère aujourd’hui sa solitude. Il fut autrefois un véritable bourlingueur, vie trépidante qu’il regrette. Une blessure à l’aile, qui le fait encore souffrir, l’obligea finalement à s’installer à Paris: “Jusqu’à mon accident, je n’y venais que rarement. Mes migrations occasionnelles ne survolaient pas la capitale, et ce n’était qu’à l’appel de Krarok que je quittais l’abri des futaies alpines.”
Logeant dans la charpente de Notre-Dame, Krarok est le maître du Conseil des animaux de Paris. Karka et lui sont amis de longue date. Karka s’est éloigné de cette assemblée, non seulement à cause de sa blessure, mais sans doute car il n’a guère de sympathie pour le Grand Duc Bubo. Des faits inquiétants se déroulant depuis peu au Bois de Boulogne, Krarok charge son ami d’une mission. On signale la disparition de bêtes, sans que l’on retrouve les corps.
On soupçonne des lions d’avoir pris possession du Bois. Ce qui, bien sûr, ne correspond à aucune répartition des zones animalières parisiennes prévues par le Conseil. Pour éclaircir l’affaire, les vieilles méthodes de Karka seront probablement les plus efficaces. Il commence par interroger Léon, le vieux lion emprisonné au Jardin des Plantes. Karka apprend ainsi la disparition suspecte de Pfurr, le chat du gardien. Il existe certainement un lien avec l’affaire des lions.
Entre la jeune corneille mantelée qui s’est installée en voisine, et la tourterelle émissaire du Conseil qui ne manque pas d’aplomb, Karka se sent flatté que de belles oiselles s’intéressent à lui. Tandis qu’il enquête sur le cas de Pfurr dans un refuge SPA, où tant de chats sont encagés, Karka libère un toucan enfermé. Ce Jérémie ne tarde pas à le rejoindre au Parc Montsouris.
“Il y avait trop de félidés dans cette affaire de fauves. C’était du côté des chats qu’il me fallait enquêter” conclut Karka après ses premières investigations. Toutefois, la fréquentation des siamois n’est pas sans danger même s’ils nient être impliqués. Il y aurait encore la piste plus hasardeuse d’un cirque, dont les animaux se seraient échappés. L’hiver arrivant sur Paris, l’enquête de Karka s’enlise dans le silence et le froid. Néanmoins, les sourdes tensions qui règnent entre animaux vont pousser le corbeaux chevronné à réagir…
(Actes noirs)
Bon tout d'abord, j'adore les corbeaux et les corneilles et pour en avoir gardé une pendant quelques mois, je peux vous dire que c'est un oiseau très intelligent, attachant, malin, imposant et magnifique.
J'ai été tout de suite été attiré par le titre puis en lisant le dos de couverture, je me suis dit, ça y est quelqu'un l'a fait !
Une personne a eu enfin l'idée de construire une histoire autour du parc montsouris et d'un oiseau qui habiterait ces lieux. Combien de fois me suis-je posé cette question en étant assis sur un banc dans ce parc où au regard de chaque oiseau se traduisait un comportement, une histoire, leurs histoires.
Sébastien Rutès a eu cette idée géniale et très originale de nous inventer une histoire, une enquête dans le monde des oiseaux et des animaux vivant dans Paris, un roman absolument délicieux qui vraiment sort des sentiers battus et nous offre en quelque sorte un mélange de polar et de fable animalière !
J'en ai eu le bec cloué !
L'histoire :
Karka est un corbeau freux parisien vivant dans le Parc Montsouris. Il habite au dernier étage de son arbre, un févier d’Amérique, cherchant peu de contact avec les oiseaux des alentours. Les seuls échos du monde extérieur lui sont rapportés par ses amies les mouettes voyageuses. Karka apprécie en particulier l’esprit d’aventure de la jeune mouette Iaha, nièce de la caractérielle Ierk.
Si son espèce est plutôt grégaire, le vieux corbeau préfère aujourd’hui sa solitude. Il fut autrefois un véritable bourlingueur, vie trépidante qu’il regrette. Une blessure à l’aile, qui le fait encore souffrir, l’obligea finalement à s’installer à Paris: “Jusqu’à mon accident, je n’y venais que rarement. Mes migrations occasionnelles ne survolaient pas la capitale, et ce n’était qu’à l’appel de Krarok que je quittais l’abri des futaies alpines.”
Logeant dans la charpente de Notre-Dame, Krarok est le maître du Conseil des animaux de Paris. Karka et lui sont amis de longue date. Karka s’est éloigné de cette assemblée, non seulement à cause de sa blessure, mais sans doute car il n’a guère de sympathie pour le Grand Duc Bubo. Des faits inquiétants se déroulant depuis peu au Bois de Boulogne, Krarok charge son ami d’une mission. On signale la disparition de bêtes, sans que l’on retrouve les corps.
On soupçonne des lions d’avoir pris possession du Bois. Ce qui, bien sûr, ne correspond à aucune répartition des zones animalières parisiennes prévues par le Conseil. Pour éclaircir l’affaire, les vieilles méthodes de Karka seront probablement les plus efficaces. Il commence par interroger Léon, le vieux lion emprisonné au Jardin des Plantes. Karka apprend ainsi la disparition suspecte de Pfurr, le chat du gardien. Il existe certainement un lien avec l’affaire des lions.
Entre la jeune corneille mantelée qui s’est installée en voisine, et la tourterelle émissaire du Conseil qui ne manque pas d’aplomb, Karka se sent flatté que de belles oiselles s’intéressent à lui. Tandis qu’il enquête sur le cas de Pfurr dans un refuge SPA, où tant de chats sont encagés, Karka libère un toucan enfermé. Ce Jérémie ne tarde pas à le rejoindre au Parc Montsouris.
“Il y avait trop de félidés dans cette affaire de fauves. C’était du côté des chats qu’il me fallait enquêter” conclut Karka après ses premières investigations. Toutefois, la fréquentation des siamois n’est pas sans danger même s’ils nient être impliqués. Il y aurait encore la piste plus hasardeuse d’un cirque, dont les animaux se seraient échappés. L’hiver arrivant sur Paris, l’enquête de Karka s’enlise dans le silence et le froid. Néanmoins, les sourdes tensions qui règnent entre animaux vont pousser le corbeaux chevronné à réagir…
Invité- Invité
Re: Et en ce moment vous lisez quoi ?
Métamorphose En Bord De Ciel
Mathias Malzieu
Conte pour adulte qui parle de la Betterave et de la résurection, une bien belle métaphore pour parler d'un cancer et de la mort qui au final se relève être un livre sur la vie, sur l'amour, l'histoire est magnifique, pleine de poésie, un très beau style d'écriture.
Résumé :
Tom Cloudman est sans conteste le plus mauvais cascadeur du monde. Ses performances de voltige involontairement comiques le propulsent au sommet de la gloire. Jusqu'à ce qu'un médecin qui le soigne pour une énième fracture décèle chez lui une maladie incurable. Commence alors pour Tom un long séjour hospitalier pour tenter de venir à bout de ce qu'il appelle "" la Betterave "". Lors d'une de ses déambulations nocturnes dans les couloirs de l'hôpital, cet homme qui a toujours rêvé de voler rencontre une étrange créature, mi-femme mi-oiseau, qui lui propose le pacte suivant : "" Je peux vous transformer en oiseau, ce qui vous sauverait, mais cela ne sera pas sans conséquences. Pour déclencher votre métamorphose vous devrez faire l'amour avec moi. De cette union naîtra peut-être un enfant. Un risque à accepter "".
Mathias Malzieu
Conte pour adulte qui parle de la Betterave et de la résurection, une bien belle métaphore pour parler d'un cancer et de la mort qui au final se relève être un livre sur la vie, sur l'amour, l'histoire est magnifique, pleine de poésie, un très beau style d'écriture.
Résumé :
Tom Cloudman est sans conteste le plus mauvais cascadeur du monde. Ses performances de voltige involontairement comiques le propulsent au sommet de la gloire. Jusqu'à ce qu'un médecin qui le soigne pour une énième fracture décèle chez lui une maladie incurable. Commence alors pour Tom un long séjour hospitalier pour tenter de venir à bout de ce qu'il appelle "" la Betterave "". Lors d'une de ses déambulations nocturnes dans les couloirs de l'hôpital, cet homme qui a toujours rêvé de voler rencontre une étrange créature, mi-femme mi-oiseau, qui lui propose le pacte suivant : "" Je peux vous transformer en oiseau, ce qui vous sauverait, mais cela ne sera pas sans conséquences. Pour déclencher votre métamorphose vous devrez faire l'amour avec moi. De cette union naîtra peut-être un enfant. Un risque à accepter "".
Invité- Invité
Re: Et en ce moment vous lisez quoi ?
Yakuji Ichikawa
Je reviendrai avec la pluie
Depuis la mort de sa femme Mio, Takumi vit seul avec son fils Yûji, âgé de six ans. Il gère le quotidien et l'éducation de son fils du mieux qu'il peut. Une seule chose le fait tenir, la promesse faite par Mio qu'elle reviendrait avec la pluie. Le premier jour de la saison humide, cette promesse se réalise. Durant six semaines, le temps se suspend pour Mio et Takumi.
En 2003, plus de trois millions de lecteurs japonais tombent amoureux de Je reviendrai avec la pluie. Suite à son immense succès, le livre a inspiré un film et une série télé encensés par la critique, ainsi qu'un manga sacré best-seller. Takuji Ichikawa défend une vision idéalisée de l'amour et met au service de cette histoire bouleversante une écriture d'une sensibilité rare, poétique et pleine de fantaisie.
Je suis sans doute très bon public (comme des millions d'autres personnes) mais J'ai dévoré le livre d'un trait, ce conte philosophie partagé à un moment entre deux récits est magnifique, une histoire simple qui parle du quotidien, de la vie, de la mort, de tendresse et d'amour. Comme je l'ai lu quelque part : "Je reviendrai avec la pluie, est un roman triste plein d'espoir, un hymne à l'amour vrai, celui qui transcende le temps et l'espace."
Ceux qui ne seront pas intéressés par la culture japonaise pourront très certainement passer leur chemin...
Je reviendrai avec la pluie
Depuis la mort de sa femme Mio, Takumi vit seul avec son fils Yûji, âgé de six ans. Il gère le quotidien et l'éducation de son fils du mieux qu'il peut. Une seule chose le fait tenir, la promesse faite par Mio qu'elle reviendrait avec la pluie. Le premier jour de la saison humide, cette promesse se réalise. Durant six semaines, le temps se suspend pour Mio et Takumi.
En 2003, plus de trois millions de lecteurs japonais tombent amoureux de Je reviendrai avec la pluie. Suite à son immense succès, le livre a inspiré un film et une série télé encensés par la critique, ainsi qu'un manga sacré best-seller. Takuji Ichikawa défend une vision idéalisée de l'amour et met au service de cette histoire bouleversante une écriture d'une sensibilité rare, poétique et pleine de fantaisie.
Je suis sans doute très bon public (comme des millions d'autres personnes) mais J'ai dévoré le livre d'un trait, ce conte philosophie partagé à un moment entre deux récits est magnifique, une histoire simple qui parle du quotidien, de la vie, de la mort, de tendresse et d'amour. Comme je l'ai lu quelque part : "Je reviendrai avec la pluie, est un roman triste plein d'espoir, un hymne à l'amour vrai, celui qui transcende le temps et l'espace."
Ceux qui ne seront pas intéressés par la culture japonaise pourront très certainement passer leur chemin...
Invité- Invité
Re: Et en ce moment vous lisez quoi ?
Arthur Philips / Une simple mélodie
comme d'habitude, quand j'ai lu sur la couverture « élu meilleur roman de l'année par le new york times », je me suis dis, encore un qui a besoin de pub pour vendre, ça ne va pas quand même pas marcher à tous les coups !
Mais je trouvais la couverture très jolie, la photo était très … attirante, j'ai commencé à lire le résumé, ça parlait musique, d'un homme assez âgé 40, 50 ans (un peu mon âge donc) et qui a un véritable coup de cœur pour une chanteuse irlandaise découverte dans un pub. Une relation virtuelle et étrange va alors se nouer entre ces deux personnages. Et j'ai plongé et j'ai dévoré ce livre car ce roman est fait pour les amoureux de la musique, ceux pour qui un titre veut exprimer la moindre émotion, ceux pour qui un morceau peut remplacer une phrase, un mot ! Ceux pour qui, un morceau représente un moment clé de leur vie, bref, Ceux pour qui sans la musique, la vie ne serait rien...
On s’imbibe de son histoire pour se projeter dans un même fantasme (oui je le dis), qui nous amènerait à vivre une aventure similaire avec une jeune artiste, la musique est partout, elle transpire à chaque pages, certains passages sont vraiment magnifiques et Arthur Philips nous transporte dans ce dédale d'émotions avec un grand talent.
résumé :
Julian Donahue a toujours aimé la musique. Il est pourtant
aujourd'hui à cet âge où l'on commence à ne plus connaître le
nom des nouveaux groupes, où l'on se sent vieux, très vieux
même, dans une boîte de nuit, où l'on réalise que la jeune fille
que l'on dévisage n'était pas encore née lorsque nos albums
préférés sont sortis. Ce qui ne l'empêche pas d'avoir un
véritable coup de coeur pour une jeune chanteuse irlandaise,
Cait O'Dwyer, entendue par hasard un soir dans un petit club
de Brooklyn. Une relation virtuelle étrange se noue alors,
nourrie d'e-mails et de SMS. Cait, dont la carrière est en train
de décoller, est vite séduite par cet étrange inconnu qui semble
la comprendre mieux que personne mais qui refuse
obstinément de la rencontrer. Après des débuts enthousiastes,
cette liaison pas comme les autres ne va cependant pas tarder à
se transformer en jeu dangereux.
comme d'habitude, quand j'ai lu sur la couverture « élu meilleur roman de l'année par le new york times », je me suis dis, encore un qui a besoin de pub pour vendre, ça ne va pas quand même pas marcher à tous les coups !
Mais je trouvais la couverture très jolie, la photo était très … attirante, j'ai commencé à lire le résumé, ça parlait musique, d'un homme assez âgé 40, 50 ans (un peu mon âge donc) et qui a un véritable coup de cœur pour une chanteuse irlandaise découverte dans un pub. Une relation virtuelle et étrange va alors se nouer entre ces deux personnages. Et j'ai plongé et j'ai dévoré ce livre car ce roman est fait pour les amoureux de la musique, ceux pour qui un titre veut exprimer la moindre émotion, ceux pour qui un morceau peut remplacer une phrase, un mot ! Ceux pour qui, un morceau représente un moment clé de leur vie, bref, Ceux pour qui sans la musique, la vie ne serait rien...
On s’imbibe de son histoire pour se projeter dans un même fantasme (oui je le dis), qui nous amènerait à vivre une aventure similaire avec une jeune artiste, la musique est partout, elle transpire à chaque pages, certains passages sont vraiment magnifiques et Arthur Philips nous transporte dans ce dédale d'émotions avec un grand talent.
résumé :
Julian Donahue a toujours aimé la musique. Il est pourtant
aujourd'hui à cet âge où l'on commence à ne plus connaître le
nom des nouveaux groupes, où l'on se sent vieux, très vieux
même, dans une boîte de nuit, où l'on réalise que la jeune fille
que l'on dévisage n'était pas encore née lorsque nos albums
préférés sont sortis. Ce qui ne l'empêche pas d'avoir un
véritable coup de coeur pour une jeune chanteuse irlandaise,
Cait O'Dwyer, entendue par hasard un soir dans un petit club
de Brooklyn. Une relation virtuelle étrange se noue alors,
nourrie d'e-mails et de SMS. Cait, dont la carrière est en train
de décoller, est vite séduite par cet étrange inconnu qui semble
la comprendre mieux que personne mais qui refuse
obstinément de la rencontrer. Après des débuts enthousiastes,
cette liaison pas comme les autres ne va cependant pas tarder à
se transformer en jeu dangereux.
Invité- Invité
Re: Et en ce moment vous lisez quoi ?
lu depuis quelques semaines mais vraiment très bon bouquin, attention pas vraiment joyeux, assez trash mais j'adore ce style quand c'est bien écrit ! c'est décalé, c'est noir mais c'est super bon
Mille petites falaises
Shaughnessy BISHOP-STALL
Mason est écrivain mais il tire le diable par la queue. En plus de ça, il boit et sniffe de la coke. Pour l’aider, Chaz, son ami d’enfance, lui prête un appartement et lui trouve un job de marchand de hot-dogs dans une extravagante roulotte en forme de chapeau géant. Un client, apprenant ses ambitions littéraires, lui demande de lui écrire une lettre d’amour – sans lui dire qu’il s’en servira comme d’une lettre de suicide. Grassement payé pour ce travail Mason voit là, le choc passé, un moyen de purger ses dettes. Il décide alors de se faire nègre et d’aider les suicidaires en mal d’inspiration à écrire leur lettre d’adieu. Fatalement, il fréquente bientôt le gotha des fracassés de la vie, nouant d’improbables amitiés, une bouleversante histoire d’amour mais aussi une terrifiante histoire de haine.
Exploration sans merci de la dépravation, Mille petites falaises est aussi une parabole drolatique de notre victoire sur les démons du désespoir et sur les fantômes de nos doubles ratés. Mêlant la rugosité de Bukowski à la tendresse de Hornby, Shaughnessy Bishop-Stall utilise toutes les ressources de l’écriture, ou presque, et trousse une fable bouffonne qui se mue peu à peu en sombre thriller. Riche, inventif, sauvage et sincère, son roman est une voiture folle que son conducteur ramène in extremis sur la route après chaque embardée. Une voiture sans freins.
Mille petites falaises
Shaughnessy BISHOP-STALL
Mason est écrivain mais il tire le diable par la queue. En plus de ça, il boit et sniffe de la coke. Pour l’aider, Chaz, son ami d’enfance, lui prête un appartement et lui trouve un job de marchand de hot-dogs dans une extravagante roulotte en forme de chapeau géant. Un client, apprenant ses ambitions littéraires, lui demande de lui écrire une lettre d’amour – sans lui dire qu’il s’en servira comme d’une lettre de suicide. Grassement payé pour ce travail Mason voit là, le choc passé, un moyen de purger ses dettes. Il décide alors de se faire nègre et d’aider les suicidaires en mal d’inspiration à écrire leur lettre d’adieu. Fatalement, il fréquente bientôt le gotha des fracassés de la vie, nouant d’improbables amitiés, une bouleversante histoire d’amour mais aussi une terrifiante histoire de haine.
Exploration sans merci de la dépravation, Mille petites falaises est aussi une parabole drolatique de notre victoire sur les démons du désespoir et sur les fantômes de nos doubles ratés. Mêlant la rugosité de Bukowski à la tendresse de Hornby, Shaughnessy Bishop-Stall utilise toutes les ressources de l’écriture, ou presque, et trousse une fable bouffonne qui se mue peu à peu en sombre thriller. Riche, inventif, sauvage et sincère, son roman est une voiture folle que son conducteur ramène in extremis sur la route après chaque embardée. Une voiture sans freins.
Invité- Invité
Re: Et en ce moment vous lisez quoi ?
Le Dévouement du suspect X
Keigo Higashino
Résumé :
Ishigami, un professeur de mathématiques, est amoureux de sa voisine, Yasuko Hanaoka, une divorcée qui élève seule sa fille. Mais son ex-mari a retrouvé sa trace et la harcèle. Elle le tue en cherchant à protéger sa fille qu'il a attaquée. Ishigami, qui a tout entendu, y voit l'occasion de se rapprocher d'elle et lui propose son aide. Il entreprend alors de maquiller le crime en le considérant comme un problème de mathématiques à résoudre... Un roman noir sur la folle logique de la passion.
J'ai adoré ! encore un livre de ma collection préférée, je ne résiste pas à la beauté des couvertures des éditions actes noires (actes sud) ou souvent je ne suis pas déçu du contenu. Le Dévouement du suspect X est le deuxième roman de cet auteur japonais.
Une histoire originale qui met en scène la culture japonaise sous forme de polar, un livre séduisant et captivant.
Keigo Higashino
Résumé :
Ishigami, un professeur de mathématiques, est amoureux de sa voisine, Yasuko Hanaoka, une divorcée qui élève seule sa fille. Mais son ex-mari a retrouvé sa trace et la harcèle. Elle le tue en cherchant à protéger sa fille qu'il a attaquée. Ishigami, qui a tout entendu, y voit l'occasion de se rapprocher d'elle et lui propose son aide. Il entreprend alors de maquiller le crime en le considérant comme un problème de mathématiques à résoudre... Un roman noir sur la folle logique de la passion.
J'ai adoré ! encore un livre de ma collection préférée, je ne résiste pas à la beauté des couvertures des éditions actes noires (actes sud) ou souvent je ne suis pas déçu du contenu. Le Dévouement du suspect X est le deuxième roman de cet auteur japonais.
Une histoire originale qui met en scène la culture japonaise sous forme de polar, un livre séduisant et captivant.
Invité- Invité
Re: Et en ce moment vous lisez quoi ?
http://www.camionblanc.com/detail-livre-nothin-to-lose-les-origines-de-kiss-1972-1975-1065.php
Présentation
Nothing To Lose: The Making Of KISS (1972 -1975) relate pour la première fois les années capitales dans la formation de KISS, groupe de rock légendaire, avec, pour point d'orgue, le succès international de « Rock And Roll All Nite », un titre qui, quarante ans plus tard, demeure un hymne rock indestructible. Rassemblant plus de deux cents interviews, cet ouvrage propose le compte rendu captivant, intime et pris sur le vif de leurs débuts, relatant leurs batailles et leurs premières victoires jusqu'au statut de superstars. Compilant les interviews de Paul Stanley, Gene Simmons, Ace Frehley et Peter Criss, ainsi que de producteurs, d'ingénieurs du son, de managers, d'employés de maisons de disques, de roadies, de propriétaires de clubs, d'agents de réservation, de promoteurs de concerts, de designers, de photographes, de publicitaires, de journalistes et de musiciens avec lesquels KISS partagea l'affiche comme Alice Cooper ou Blue Öyster Cult, les New York Dolls ou les Ramones, c'est le récit de l'ascension d'un groupe irrésistible et inoubliable qui écrivit son nom en lettres de feu au panthéon du rock. « Un livre électrisant sur le groupe qui a changé l'histoire du rock'n'roll en restant droit dans ses bottes pour imprimer sa marque d'éclairs heavy metal. J'approuve ! » - Joe Perry, Aerosmith. « Ce texte est la véritable histoire du rêve américain rock'n'roll » - Ted Nugent. « Vous qui croyiez tout savoir sur KISS… vous aviez tort. Retraçant les débuts de KISS, Nothing To Lose propose le son de cloche de ses membres, de leurs amis, d'acteurs de l'industrie du disque - dont votre humble serviteur ! Si vous voulez découvrir comment Gene Simmons a appris à cracher du feu et quel a été le premier maquillage de Paul Stanley, ce livre est pour vous. » - Alice Cooper
Présentation
Nothing To Lose: The Making Of KISS (1972 -1975) relate pour la première fois les années capitales dans la formation de KISS, groupe de rock légendaire, avec, pour point d'orgue, le succès international de « Rock And Roll All Nite », un titre qui, quarante ans plus tard, demeure un hymne rock indestructible. Rassemblant plus de deux cents interviews, cet ouvrage propose le compte rendu captivant, intime et pris sur le vif de leurs débuts, relatant leurs batailles et leurs premières victoires jusqu'au statut de superstars. Compilant les interviews de Paul Stanley, Gene Simmons, Ace Frehley et Peter Criss, ainsi que de producteurs, d'ingénieurs du son, de managers, d'employés de maisons de disques, de roadies, de propriétaires de clubs, d'agents de réservation, de promoteurs de concerts, de designers, de photographes, de publicitaires, de journalistes et de musiciens avec lesquels KISS partagea l'affiche comme Alice Cooper ou Blue Öyster Cult, les New York Dolls ou les Ramones, c'est le récit de l'ascension d'un groupe irrésistible et inoubliable qui écrivit son nom en lettres de feu au panthéon du rock. « Un livre électrisant sur le groupe qui a changé l'histoire du rock'n'roll en restant droit dans ses bottes pour imprimer sa marque d'éclairs heavy metal. J'approuve ! » - Joe Perry, Aerosmith. « Ce texte est la véritable histoire du rêve américain rock'n'roll » - Ted Nugent. « Vous qui croyiez tout savoir sur KISS… vous aviez tort. Retraçant les débuts de KISS, Nothing To Lose propose le son de cloche de ses membres, de leurs amis, d'acteurs de l'industrie du disque - dont votre humble serviteur ! Si vous voulez découvrir comment Gene Simmons a appris à cracher du feu et quel a été le premier maquillage de Paul Stanley, ce livre est pour vous. » - Alice Cooper
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