Protection animale...TOUTES LES PETITIONS !

À l'attention : des autorités de justice

Aidez nous !

Retiré d'urgence à ses propriétaires, ce chiot dalmatien âgé de 7 mois, il ne pesait que 10 kg300 alors qu'il devait en peser 25.
Infesté de parasites, il ne voyait jamais le jour et faisait ses besoins à l'intérieur du domicile !
La photo montre l'horreur de la situation de ce chiot !

En signant cette pétition vous nous aiderez à éviter qu'il ne retourne dans cet enfer !!!

Merci à tous les signataires pour leur aide et aux Autorités Compétentes qui nous l'espérons ne laisseront pas ce chien retourner chez ses " bourreaux " !

À l'attention : Association IFAW

Le carnage est d’ampleur : des dizaines de carcasses d’éléphants gisent dans le parc national de Bouba Ndjida, dans le nord du Cameroun, à la frontière avec le Tchad. Leurs meurtriers ont bien sûr prélevé leurs précieuses défenses, destinées à alimenter le trafic d’ivoire (dont le commerce est interdit sur le plan international depuis 1989).


Le bilan n’est pas encore clair : certaines sources parlent de 200 pachydermes abattus depuis le début de l’année, d’autres vont jusqu’à 500. «Mais ce ne sont que des rumeurs, il n’y a pas encore eu de vérification précise sur le terrain», insiste Ofir Drori, de The Last Great Ape Organization (Laga), une ONG basée au Cameroun qui lutte contre le braconnage des espèces protégées. Avant cette razzia, Bouba Ndjida comptait entre 600 et 800 éléphants, selon Céline Sissler-Bienvenu, directrice France du Fonds international pour la protection des animaux (IFAW), qui a donné l’alerte.

Aujourd’hui encore, les braconniers continuent leurs opérations dans certaines parties de ce parc de 220 000 hectares, où personne ne se risque. Ils n’hésitent pas à faire usage de leurs armes, souvent des kalachnikovs. Six militaires tchadiens, qui ont essayé de les intercepter, ont été tués, affirmait mi-février le quotidien Cameroon Tribune. Sans doute originaires du Soudan et du Tchad, où ils ont une base arrière, les chasseurs, habillés d’uniformes militaires et parlant arabe, se déplacent à cheval, parfois par groupe de 50 hommes. Ils savent jouer de l’extrême porosité des frontières, commençant leur campagne au début de la saison sèche, en octobre-novembre, écumant le nord de la Centrafrique, puis le Tchad, et enfin le Cameroun. Leur butin est transporté par dromadaire vers le Tchad, avant d’être probablement acheminé jusqu’en Chine, où la demande en ivoire est très forte.

Le kilo d’ivoire, devenu une valeur refuge, s’échange, au minimum, contre plusieurs centaines d’euros. Le scénario se répète chaque année depuis trois ou quatre ans. Si bien qu’aujourd’hui, «on connaît la vitesse de progression» de ces bandes armées, et «on savait qu’elles allaient bientôt arriver au Cameroun», explique Céline Sissler-Bienvenu.

«Biodiversité». Les messages d’alerte envoyés aux autorités camerounaises, connues pour leur gouvernance défaillante, n’ont rien donné : l’armée n’a pas été déployée, comme cela se serait fait dans d’autres pays. Pourtant, «c’est devenu un problème de sécurité nationale, il faut absolument que le gouvernement assainisse rapidement la zone pour protéger les citoyens et la biodiversité», estime David Hoyle, directeur de la conservation du WWF (Fonds mondial pour la nature) au Cameroun. Pour Ofir Drori, de Laga, «il faut aller à la source, chercher les braconniers dans leur base du Tchad, voire même au Soudan».

S’il n’est pas mis fin à l’impunité des trafiquants, l’éléphant, également menacé dans le sud-est du Cameroun où d’autres filières de contrebande opèrent, ne sera bientôt plus qu’un lointain souvenir dans le pays, qui en abritait entre 1 000 et 5 000 en 2007, selon l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Ces dernières années, les braconniers ont déjà quasiment exterminé l’espèce au Tchad et dans le nord de la République centrafricaine.

L’Europe a sa part de responsabilité, répètent les ONG : pour envoyer un signal clair aux trafiquants, l’Union européenne doit, entre autres, s’opposer fermement à l’idée, de plus en plus évoquée, d’une levée de l’interdiction du commerce de l’ivoire.

Ma pétition sera envoyée à l'association IFAW

À l'attention : Monsieur Pascal Mailhos, Préfet des régions Bourgogne et Côte d'or

Monsieur le Préfet,

L’association de protection animale Nid’Accueil, situé au lieu dit Le Fourneau à Cussey les Forges (21580) a vécu un terrible drame à la date du 28 octobre 2012.

La Présidente de l’association a retrouvé un de ses chevaux, Fougor, mort dans le contre bas de la propriété ainsi qu’une de ses juments, Eclipse, grièvement blessée par balle.

La gendarmerie d’Is sur Tille a été contactée et une plainte a été déposée contre X pour violation de propriété et cruauté envers les animaux. L’enquête est en cours et nous espérons pouvoir connaître les circonstances exactes de ce drame ainsi que le ou les auteurs responsables de cette tragédie.

Néanmoins un gros souci subsiste, le corps de Fougor n’a toujours pas pu être évacué depuis le 28 octobre. L’équarisseur avait bien été commandé mais, comme l’association n’a pas pu déplacer le corps, ils n’ont pas pu l’enlever comme cela était prévu. Les soucis majeur est l’emplacement de Fougor, il a été découvert gisant de moitié dans la Tille et dans une partie du terrain qui se nomme les marais de Pospice, une zone fortement marécageuse et à cette époque totalement impraticable avec un engin agricole ou autre véhicule.

Nid’Accueil a fait appel à plusieurs personnes qui ont eu la gentillesse de se déplacer avec du matériel mais sans pouvoir intervenir pour autant, le sol étant trop instable. D’autres autorités ont été contactés : les pompiers, la préfecture, les services vétérinaire, la direction régionale de l’agriculture…mais personne n’a pu les aider ou leur donner des conseils leur permettant de faire enlever le corps de ce pauvre Fougor.

Le maire de la commune s'est contenté d'informer votre préfecture d'un éventuel risque de pollution de la rivière sans pour autant proposer son aide, la refusant même, puisqu'il argumente que ce n'est pas de son ressort de faire quoi que ce soit. Ce n'est pas ce que disent les textes !!!

De plus, on menace d'attaquer l'association pour pollution, ce qui est extraordinaire car tout à été fait et toutes les autorités compétentes contactées se renvoient la balle sans pour autant intervenir ou trouver de solutions.

C'est inadmissible que les victimes se retrouvent coupables !!!

La Fondation Brigitte Bardot a été informé de cette situation désolante et soutiens entièrement l’association Nid’Accueil dans sa présente démarche de pétition afin de pouvoir enfin être entendu et obtenir l’aide dont elle a cruellement besoin. Le corps de l’animal gît à présent depuis un mois et est fortement en état de décomposition, l’association ayant tout essayé, vous êtes notre dernier recours.

Nous vous demandons d’intervenir le plus rapidement possible afin de leur venir en aide. Nid’Accueil est une association à but non lucratif de loi 1901 créée le 24 juin 2006. Elle vient en aide aux animaux errants et dans le besoin afin de leur offrir une vie digne, elle ne mérite pas tout ce qui lui arrive ! Nous espérons sincèrement pouvoir compter sur votre aide, la situation étant très grave.